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Loloraidoutdoor

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Aventures swimrun ultra trail Norseman ötillö marathon des sables Outdoor sport outdoor triathon

Publié le par lolo

‌Bonjour à tous, et très belle et heureuse année

C'est une première pour moi que d'utiliser une cagnotte participative pour ce projet qui me tient à cœur : Le No Limit Challenge Swimrun. Celui-ci consiste à participer à toutes les épreuves de coupe du monde du circuit ÖTILLÖ en doublant les courses Sprint (samedi) et longue distance (dimanche) ce qui n'a jamais été réalisé par une équipe depuis les création de ces événements.
En comptant le championnat du monde ÖtillÖ, référence légendaire du swimrun, cela correspond à 14 swimrun en 7 week-ends.

 


Avec Laurence, nous tentons tout le mois de janvier et début février, de trouver le financement pour cette belle épopée.

Si l'Aventure vous tente à nos côté, la cagnotte est en ligne sur Leetchi.com,
N'hésitez à partager auprès de vos réseaux si vous ce projet vous interpelle, vous touche et de notre côté on croise les doigts pour pouvoir le concrétiser, grâce à vous.

Si des sociétés sont intéressées, je peux délivrer un document CERFA de don aux associations déductible des impôts via l'Asso AB AVENTURES
Il faudra par contre passer directement par moi et un versement sur le compte ASSOCIATIF.


A très bientôt, et merci à vous pour votre soutien et aide

lien cagnotte en ligne :


https://www.leetchi.com/c/no-limit-challenge-swimrun-oetilloe

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Publié le par lolo

Un Mauricien à ÖtillÖ, c'est un peu comme un remake des Rasta Rocket, l'équipe de la Jamaïque qui décide de participer aux Jeux Olympiques en bobsleigh. Sauf que là, et bien la belle histoire se situe dans la mer Baltique suédoise dans la baie de Stocholm.

Simon est un très grand trailer de l'île Maurice, certainement même le meilleur. Notre amitié est née depuis de nombreuses années, suite à mes fréquentes venues dans l'Océan Indien lors du Dodo Trail et du Trail de Rodrigues. Lorsque j'avais pour la première fois participé à l'ÖtillÖ en 2016, je sentais bien en échangeant avec Simon que ses yeux pétillaient à l'écoute du récit et que cette course le faisait rêver.

C'est alors que je lui ai proposé de tenter la qualification en proposant notre dossier dans la catégorie "choix des directeurs de course". En février 2018, la grande surprise est tombée en  lorsque nous avons appris que notre équipe inédite Franco-Mauricienne avait séduit l'organisation. 

Du rêve à la réalité il y a parfois qu'un pas. Et ce 3 septembre 2018, nous voilà sur la ligne du départ du Géant ÖtillÖ au beau milieu des swimrunner venus du monde entier en compagnie de notre supportrice au sourire et accent ensoleillé, Céline.

Le matin du départ, je regarde mon Mauricien vêtu de la combinaison HEAD Rough de Mélissa, avec un bonnet de bain sur la tête et là, je me dis que j'ai embarqué mon partenaire exotique dans une soirée déguisée! Mais non, Simon, on va bien plonger dans des eaux froides et une faune aquatique quelque peu différente de ton océan indien.

Le départ est donné au petit jour sur l'île de Sandhamm, et c'est parti pour le show. On arrive très vite à la première natation longue de 1780 m. C'est celle qui m'inquiète le plus à savoir est-ce que les 15 - 14 degrés de l'eau vont traumatiser, foudroyer ou secouer mon partenaire des îles? Et bien, première surprise, tout se passe pour le mieux, et mon squale Mauricien reste bien dans mes pieds jusqu'à la première sortie glissante sur l'île. Là, je me suis dit que sauf incidents, vu les belles conditions climatiques, on peut aller au bout de l'aventure.

S'ensuit des parties de trail techniques qu'on avale sans soucis (No soucy) ainsi que plusieurs enchaînements de plus petites sections de natations. Tout va bien et Simon me met le feu en course à pied. Il me tracte comme une mule. De derrière, j'ai l'impression que c'est un Pit bull tout en muscle qui tire son maître comme un drapeau. Bon, ok ; Simon oublie parfois que je suis derrière attaché donc les virages en épingles, les passages de troncs d'arbres et certaines relances me sont parues un peu chaotiques voire chahutées. Mais je vole oui je vole, it's time to fly... On a un super rythme sur les trails de 8 et 5 km on double les équipes qui nous déposent en natation. On fait par exemple le yoyo avec Camille qui souffre des chevilles et Julien sur une partie du parcours (merci pour vos encouragements). Ils m'ont vu voler eux.

Pour ma part, j'assure la navigation en natation avec Simon à mes pieds, même si on est attaché, je n'ai pas l'impression de tracter le fauve. On enchaîne quelques longues distances en nage comme le légendaire "Pig Swim" qui est cette année limpide. Puis on arrive sur l'île au long trail, OrnÖ : 19km à faire à la suite sur des parties roulantes, wow! Que c'est long, j'ai les guibolles en compotes et les quadriceps secoués comme un cocotier. Mon tracteur est lui toujours en grande forme ce qui nous permet de conserver un petit rythme de course à pied tout du long. On partage un grande partie de cette section avec nos amis Manon et Romain. je suis impressionné par les ressources de Manon qui est dans un état de fatigue avancé suite à des soucis digestifsmais qui fait preuve d'un courage et d'une ténacité rare. Un mental d'acier si bien accompagné par un Romain qui ne lâchera rien et qui boostera sa sirène jusqu'à l'arrivée. Franchement : Respect à tous les deux!

Ma sirène à moi? Vous inquiétez pas, elle va pour le mieux même si ma Simon(e) sent que ça commence à piquer un peu. Je ne comprends pas? Il tire un sac de 70 kilos depuis des kilomètres et il sent ses cuissos gonflés à bloc? t'inquiète mon Simon, lors de prochaine course, sans ta combinaison néoprène et ton matériel obligatoire de partenaire = lolo, tu vas grimper aux arbres.

On en termine enfin avec ce petit semi-marathon. il reste 6 îles à traverser entrecoupées de petites sections de natation. Lors d'une des traversées nautiques, Manon et Romain nous déposent à une vitesse supersonique, wow, je suis trop content de savoir qu'ils vont terminer leur 1er ÖtillÖ.

On arrive sur la dernière île, Utö, plus que 3.6km avant a ligne d'arrivée et voilà pas que je me tape une hypoglycémie carabinée, grrrr.. Plus rien à manger si ce n'est un morceau du Simon mais il est dur comme la pierre alors je m'abstiens. Du coup, on se fait doubler par quelques équipes mais bon, l'essentiel est ailleurs car la ligne d'arrivée s'approche.

16h46, il est l'heure de franchir la ligne d'arrivée après 10h46 de swimrun composé de 23 sections de natation, 75 km parcourus dont 10km en swim cumulés.... On l'a fait my friend!

Ce 3 septembre 2018, Simon devient le premier Mauricien à participer et vaincre le géant Suédois, Ötillö!

Lolo améliore le temps de 2016 de 1h14 notamment grâce à son tracteur mauricien. 

tu m'as impressionné mon Simon, sincèrement la grande classe, tu l'as fait et vivre ses rêves c'est tellement bon, merci pour ta confiance et cet incroyable partage avec en prime ton si beau sourire à l'arrivée.

Merci Céline pour tous tes encouragements, ton sourire et ton enthousiasme, t'es adorable.

Merci Olivier pour le logement d'avant course :-)

Merci Michael et Matts de nous avoir donné la chance de prendre le départ de cette incroyable course.

Merci Moka Rangers, Head pour tous les cadeaux, le soutien et les encouragements ainsi que Tingerlaat, Clément Faugier (crème de marron = potion magique sauf qu'il m'en aurait fallu une de +)

Et merci à toute ma petite famille pour l'énorme soutien affectif.

Encore de très beaux échanges avec toute la famille swimrun. Hâte d'en refaire, hâte de vous revoir, WE ARE SWIMRUNNER :-) et moi, je suis un peu Mauricien ;-) aussi.

 

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Publié le par lolo

Depuis 2016, date à laquelle j'ai commencé ces belles aventures Swimrun, j'entends parler de la beauté et l'ambiance toute particulière qui règne sur ces îles of Scilly; cadre idéal pour la pratique de notre discipline préférée. Il faut dire qu'elles se méritent ces îles car après un vol pour Londres, 6h de bus pour rejoindre Penzance situé à l'extrême ouest de l'Angleterre et 2h45 de Ferry, nous posons enfin les pieds sur Sainte-Mary, l'île la plus peuplées de l'Archipel.

Dès les premiers pas dans le typique village de Sainte-Mary, on ressent une certaine âme qui hante les vieilles pierres des cottages, comme une histoire encore omniprésente.

La joie des pêcheurs qui terminent leur journée est communicative et l'odeur d'iode et d'algues nous transporte définitivement ce monde, esseulé, loin de toute côte :

Bienvenue à Ste Mary; le cadre est posé. 

Vient ensuite la deuxième surprise : L'incroyable végétation présente sur l'archipel avec notamment la présence d'un étonnant jardin subtropical sur l'île Tresco, conséquence de du microclimat local. Je comprends mieux pourquoi l'exportation de fleurs exotiques est la deuxième activité économique de l'île.

Sur cette épreuve Ötillö Word series, Marion Delespierre a accepté le challenge de m'accompagner et de participer aux 2 épreuves proposées par l'organisation : le sprint le samedi et la longue distance le dimanche. 2 épreuves sinon rien pour Marion qui en profite également pour découvrir la discipline. Je rappelle que c'est une course en équipe de 2 dans laquelle les deux équipiers partent et arrivent ensemble sachant que la première sécurité de l'équipe c'est son binôme notamment dans les parties nautiques.

Côté logistique, nous avons trouvé un petit appartement situé à 5 minutes du "départ-arrivé" de la course, juste Parfait!

https://www.come2scilly.com/

Après une première nuit passée sur cette terre exotique; il est temps de commencer le show sportif avec une première remise des dossards et le briefing du parcours Sprint : 18km dont 3km de natation cumulée consistant à faire le tour de l'île Sainte-Mary.

Notre stratégie est simple : on fait notre course à notre rythme et si on sent qu'il y a un podium à jouer au beau milieu des 98 équipes présentes, et bien on tente le coup jusqu'au bout. Très vite, on se retrouve dans les 3 premiers en équipe mixte et dans les 5 au classement scratch. Le parcours proposé est magnifique, ludique, parfois technique avec des natations qui ne dépassent pas 1km. On s'accroche et nous remontons à la 2ème place en mixte. L'ambiance est incroyable avec les encouragements de tous nos amis, qui courent le lendemain.

J'adore cette course, tout en relance. Marion est très en jambes et met le feu en course à pied. On limite la casse en natation mais on sait que c'est là, qu'on pourrait se faire reprendre. Il nous reste plus que 1 km à nager, on garde le rythme, et on ne regarde pas derrière. On sort 2ème, il reste plus que 500m et Hop!!!! C'est fait, sur la boite! La 3ème équipe nous expliquera à l'arrivée qu'ils étaient bien en chasse et qu'ils ont tout tenté pour nous reprendre sur la dernière natation, mais on a tenu grâce à l'avance à pied.

photo ötillö Ed Marshall

On est trop content, heureux de ce podium et de la 4ème place au général, wow! Quelle belle récompense pour le premier Swimrun de Marion (et pour moi-même).

photo ötillö Ed Marshall

Direction la douche vu qu'on est à 2 pas du départ; puis retour à l'arrivée pour les podiums. Après, c'est comme si on revivait la même journée : on retire à nouveau les dossards et on assiste au briefing pour la course du lendemain : une journée juste incroyable!

Une soirée de récupération et nous voilà au départ du World series dimanche matin pour 37km dont 8km de nage cumulée. Dès le départ je sens que mes guibolles ne sont pas très vaillantes, hummm, ça sent la journée sportive difficile. Marion, par contre, est impressionnante de fraîcheur, wow! Et heureusement car elle va mener le bal toute la journée et particulièrement en course à pied. Je serai en gros son "ancre" ou son petit (gros) boulet. Comme ça, au Marathon du Mont-Blanc, ça sera plus facile sans le lolo accroché derrière ;-)

La première natation est chaotique, rendue difficile avec ces longues algues qui emprisonnent nos mains, bras et qui s'accrochent aux plaquettes. 2000 mètres compliqués, le froid nous saisit aussi, usés que nous sommes un peu de la veille. Et surtout, lors de ces longues traversées entre îles, la profondeur de l'eau est plus importante, la température avoisinant les 13 degrés.

Après ces 2000m, juste le temps de trottiner un peu en titubant tels des ivrognes et rebelote; c'est reparti pour 1200m de natation toujours difficiles pour les mêmes raisons. Après ces deux chantiers, la course à pied reprend son droit et nous visitons les endroits escarpés et merveilleux de ces trésors d'îlots. Incroyable sensation lorsqu'on traverse ce fameux jardin botanique exotique. J'ai le sentiment de me retrouver dans la forêt luxuriante réunionnaise, .... en Angleterre! Va comprendre Charles?

Suis bien cuit, Marion est toujours au top et tracte son matériel obligatoire = Moi car de toute manière elle doit arriver avec moi, ouf! Le cadre est vraiment exceptionnel, s'ajoute une météo incroyablement ensoleillé ce qui est rare dixit un anglais rencontré après la course.

L'objectif est de terminer cette épreuve et réussir  ainsi notre challenge. On appréhende l'ultime section de natation longue de 2500m car on n'a peur de devoir à nouveau lutter contre les algues et aussi du froid d'ailleurs. Mais tout se passe bien en fait. L'eau est calme et quasiment pas de présence d'algues sur ce secteur. Plus que 7km à pied et c'est fait, après 7h22 de swim and run and swim et run and re-swim and re-run... on arrive enfin!

C'est dans la poche! Bravissimo ma partenaire de choc qui a été incroyable! Heureux de ce doublé et du bilan du week-end. Mort le lolo, Valette is dead mais alive quand même :-)

Découverte, bonne humeur et bonne ambiance en compagnie de nos amis Boris et Ben.

Superbe découverte que ce paradis perdu et de grands bons moments de sport et de convivialité. Bravo à Camille et Julien qui montent sur la boite avec une superbe 3ème place en mixte, wow!!! 

Vivement la prochaine course de swimrun qui sera ÖtillÖ World Champioship avec mon ami mauricien Simon Desvaux le 3 septembre prochain.

et GRAND MERCi aux organisateurs de cette fabuleuse course.

TOURISTES

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Publié le par lolo

Avec Yan de Maroussem, nous aimions à dire que le Dodo trail; c'était en quelque sorte passer de l'Enfer au Paradis. Et bien ce 8 juillet 2018, il n'a jamais aussi bien été résumé par ces quelques mots. En effet, les conditions climatiques humides et ventées ont rendu le terrain très glissant sur ce parcours technique; et ce dès le début de l'épreuve qui s'est transformée en véritable épopée.

C'est à 5h30 du matin, de nuit, que le départ est donné sous un feux d'artifice. Nos frontales illuminent les gouttes d'eau de la pluie qui tombe en quantité le long des chemins qui bordent l'Océan indien. Après une petite heure de course, attaquant les premiers pitons, la frontale laisse place à la lueur du jour, brumeuse, et toujours aussi humide. Le froid s'ajoute à la fête saisissant les trailers sur les hauteurs des crêtes balayées par des bourrasques de vent. Nul doute que cette édition est partie pour "marquer" dans tous les sens du terme, les participants.

Les sentiers boueux, parfois inondés, tentent d'engloutir nos chaussures par un effet ventouse ce qui demande un effort supplémentaire pour relever le pied et si possible la chaussure qui va avec. Mais il faut bien comprendre que l'exotisme, ce n'est pas que le soleil et les palmiers; c'est également cette forêt primaire et ces conditions climatiques tourmentées qui donnent une touche toute particulière à l'aventure.
Les mains, les bras, seront de la partie pour garder l'équilibre et ne pas chuter, grâce aux arbres robustes, aux cordes et aux chaînes mises en place sur certaines sections accidentées du parcours. J'avoue être bien chahuté sur les sentiers, parfois dégondé, dans l'inconfort certes, mais l'immersion reste totale, et le voyage continue entre les chassés, les sentiers et les rochers jusqu'au sommet de l'île, Piton Rivière Noire, et à son incroyable descente dans les entrailles des Gorges.
A mi-course, quelques rayons de soleil apparaissent, faisant croire à une proche sortie du premier acte : L'enfer! C'est alors que même la faune locale montre le bout de son nez avec des macaques qui traversent les sentiers devant moi, des vols de Perroquets et le fort bruit de nuées d'oiseaux proche de la cascade Rivière Noire. 

Le deuxième acte prend forme : Le Paradis! Le Paradis se mérite paraît-il? Si c'est le cas, cela se confirme avec l'omniprésence du soleil qui irradie cette nouvelle partie de l'île Maurice et la mythique Tourelle, qui domine l'Océan Indien; chemin de Croix pour certains, délivrance pour d'autres et joie pour celles et ceux qui ont réussi à bien gérer leurs courses. Car la Tourelle peut être fatale!

Et comme dans un rêve, pour récompenser les coureurs, et leur rappeler tous les ingrédients de la journée passée, un sublime Arc en ciel s'offre à nous, offrant un spectacle irréel et fantastique à l'ascension du Graal.

Juste le temps de profiter de l'incroyable panorama au sommet; il est temps de terminer le voyage et la destruction des dernières fibres musculaires des gambettes en redescendant sur l'aire d'arrivée située à Riverland. 

Wow! C'est fait! quelque soit le résultat, le temps passé, tous les participants savent qu'ils ont vécu un Dodo Trail d'anthologie, peut-être une des éditions les plus exigeantes..
De mon côté, j'ai tenté au mieux de gérer la grande vadrouille pour ne pas subir cette légendaire ascension de la Tourelle et profiter de chaque instant.

Le temps de course (9h15) pour ces 50km et 3500 m de D+ démontrent la technicité particulière du parcours même si devant les impressionnants avions de chasse réalisent des chronos supersoniques. N'est-ce pas Simon? Beau vainqueur 2018. Ca promet pour notre participation à  l'Ötillö, je vais de ce pas prendre une assurance vie.


Merci à toute l'incroyable équipe de l'organisation, en particulier Marie-Hélène, adorable boss de m'avoir donné une nouvelle fois, l'occasion de parcourir vos terres aiguisées. Ce tracé est juste "amazing", n'est-ce pas Yan; d'ailleurs, Yannick a enfin pu vivre de l'intérieur l'épreuve que vous avez mis en place depuis des années.

Une nouvelle fois, de belles rencontres et des beaux partages étaient au rendez-vous, donnant une saveur toute particulière au séjour.
Merci mon Ötillö coéquipier Simon Champion pour la sortie natation et la visite guidée en compagnie de super Mano aux terres des 7 couleurs. Belle pensée pour mes amis Valérie et Gaël Aliphon, tous les deux finishers, qui me réservent toujours un si bel accueil. 

Un sacré coup de cœur pour mon champion Rodriguais, le jaguar Liraüd Flores, avec qui j'ai eu la chance de partager la chambre. J'adore, tout comme Claudia et toute la belle équipe Rodriguaise venue de cette si belle île aux trésors, wow! Vous êtes si choux et si adorables!

La prochaine fois, tu viens revoir les dauphins avec moi l'ami Jérôme, l'animateur à la folie douce et à très vite sur vos terres les réunionnais. Merci également super Kelly pour ton accueil à mon arrivée on "the finish line".

Je garde également en mémoire de beaux échanges passionnés avec l'aventurier Jamie Marais et le couple Greyling.

Dodo Trail est Grand, place à 2019

Mais venir au Dodo Trail, c'est aussi une magnifique occasion de visiter de l'île Maurice alors place à un petit panel de souvenirs sur ce court mais si dense et beau séjour :

Vue de l'hôtel Villa Caroline au petit matin

Villa Caroline

nage avec les Dauphins

terre des 7 couleurs

Aquarium swim au pied du Morne

Incroyables sunset

A très bientôt Belle Ile Maurice

Et si l'aventure 2019 vous tente :

https://www.dodotrail.com/

 

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Publié le par lolo
Publié dans : #test matériel

"ENFIN" et "HEUREKA"! Une crème solaire qui se passe facilement sur le visage, le corps et les "lèvres" et surtout qui ne coule pas quand tu transpires, qui ne pique pas les yeux et qui est facile à étaler... Pour moi, c'est juste une grande révolution. Sachant qu'elle protège aussi du froid; cette crème solaire est juste parfaitement adaptée aux sportifs et notamment celles et ceux qui ont décidé de ne plus en mettre à cause de l'inconfort. Mais le souci, c'est qu'on a qu'une "Peau", alors autant en prendre soin.

code ambassadeur (-15%) sur vos commandes : laurentValette

J'utilise cette petite perle de produit en Trail partout; que ce soit sur les îles de l'Océan Indien à La Réunion, Maurice, Rodrigues avec soleil et vent ou en France: Aucun problème, au contraire, le Top. En course, l'usage est très facile avec le petit tube qu a la taille d'une gel et qui se glisse facilement dans les poches des textiles ou du sac à dos.

Elle m'est aussi indispensable quand je nage dans les piscines découvertes, les lacs et lors des épreuves swimrun car elle résiste à l'eau et protège de l'eau froide au niveau du visage par exemple.

Utile en toute saison, été comme hiver, il suffit juste de l'essayer pour l'adopter définitivement.

Existe en protection indice 30 et 50+; la coupler avec la crème réhydratante très performante est l'idéale.

Ces avantages sont multiples :

  • Protection contre le froid
  • Pénétration rapide dans l'épiderme
  • Protection contre la déshydratation de la peau
  • Résistance à l'eau et à la transpiration
  • Application espacée : Une à deux fois par jour selon l'activité; environ toutes les 5 à 6 heures
  • Adaptée pour toute la famille même aux jeunes enfants
  • Technique : Un embout pointe en silicone évite l'entrée d'air dans le tube, du coup pas de pollution ni infection de la crème
  • Pas de plaques blanches sur le visage même en protection SPF50+
  • Adaptée pour la peau et les lèvres

Testez là et vous l'adopterez car aucune crème solaire n'arrive à la hauteur de ce produit.

Profitez de ce code ambassadeur (-15%) sur toutes vos commandes (sur le site internet) : laurentValette

site internet : TINGERLAAT

http://www.tingerlaat.com/

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Publié le par lolo

C'est grâce à la Diagonale de Fous et son histoire de points qualificatifs que je me suis retrouvé au départ de la TransBaume dimanche 22 avril à 6 heures du matin. En effet, il me faut pas 1 mais 2 trails qualificatifs de 85 points chacun avant le mois de juin pour être retenu sur le Grand Raid de la Réunion. J'ai dans mon panier 1 seule course avec le Dodo Trail 2017 ( 50km = 50 points + 3500m de D+  = 35 points). C'est pourquoi j'avais jeté mon dévolu sur le Trail de la Sainte Baume et notamment le parcours de la Transbaume qui me paraissait avoir une distance et un dénivelé raisonnable pour mon premier grand footing long:-)

C'est aussi l'occasion de passer un très beau et bon week-end dans les calanques avant de se mettre une cartouche sur ce très beau parcours. Nous alternerons des parties rocailleuses et minérales avec vues imprenables et des passages en sous bois dans la forêt domaniale qui feront du bien à la caboche en surchauffe. Nous passerons également sur des sites aux noms à la fois beaux et inquiétants : "le sentier merveilleux, la Glacière de Géménos, les falaises de la galère,..."

Dimanche matin 6h : Je prends le départ avec mon idole Sandrine Béranger, mon ex coéquipière de raid aventure. Ca ne va pas durer vu que "bip bip" Sandrine est partie sur son rythme de croisière trop rapide pour moi. On commence par une grand et longue montée de 800m de D+. Ca va pas trop mal même si je ne suis pas trop en cannes. Je n'ai peut-être pas totalement récupéré du swimrun Croate 15 jours avant. J'essaye de gérer pour durer afin de ne pas subir la fin de course annoncée très difficile. Le but est d'être à peu près bien aux 2/3 du parcours vers le 40ème km.

Photos Organisation - Stéphane planel

Peu avant le 15ème km, je m'étale comme une crêpe sur le sol tapant des pierres avec mon genou droit... aie aie aie! Je me relève difficilement en essayent de marcher pour voir si tout est à peu près d'aplomb. C'est pas pire mais ça pique quand même avec des petits oedemes et du sang autour de la rotule.

Je continue clopin clopant jusqu'au ravito du 15ème. je sens que ça peut tenir jusqu'au bout mais va falloir gérer notamment les grandes marches en montée et les descentes techniques. Au moins c'est chaud et je ne reste pas longtemps aux ravitos pour que ça ne refroidisse pas.

Les places sont entrain de se caler et je croise souvent avec plaisir Gaetan et Sophie, selon les reliefs du parcours. La chaleur se fait sentir, une chose de plus à gérer si je ne veux pas terminer comme une merguez grillée sur barbuc.

le parcours est remarquable, technique et bien cassant. un bon entraînement pour la Diagonale c'est certain même si je ne suis pas assez préparé à la sortie de l'hiver (saison de ski juste terminée). Je me régale avec ces beaux points de vues et panoramas. On sent que les organisateurs souhaitent nous faire passer par les plus beaux spots de la Sainte Baume.

Je trouve la partie de montée descente dans le dernier vallon un peu longuette, mais après wow : The wall = terrible montée du Vallon de Fauge qui se termine par un petit passage aérien. Heureusement qu'il me restait 10% de batteries, car ça piquotte sérieusement les cuissos.

Une longue descente nous amène à l'arrivée et me voilà à Cuges les Pins après 10h27 de vadrouille en compagnie d'Emmanuelle avec qui je termine la course.

Photos Organisation - Jean-Christophe Michel

Du coup, c'est dans la poche : J'ai mes points et j'ai évité les points de suture sur le genou. Je crois pouvoir dire que je connais plutôt bien, maintenant, le massif de la Sait-Baume ;-). Un grand merci à l'équipe de l'organisation pour leurs gentillesses, encouragements et pour ce beau parcours que est venu s'ajouter à cette édition pour le 10ème anniversaire.

Un grand bravo à Pauline, pour ta course sur le 25km et cette bien jolie 2ème place espoir (beau short d'ailleurs) et à Sandrine, 2ème fille sur le 64km.

http://traildelasaintebaume.eu/

 

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Publié le par lolo

Etape World series : HVAR - 32km à pied - 9km en natation

Plein de premières fois sur cette étape de coupe du monde croate : 1ère pour Mélissa sur le circuit swimrun World serie Öttilö, 1er déplacement pour mes parents et moi en Croatie.

J'ai pour l'occasion réservé un vol partant de Lyon avec Air Austria comportant une rapide escale à Vienne pour une arrivée prévue à Split. Et l'émerveillement commence d'entrée de jeu et dès le premier vol avec une vue imprenable sur nos montagnes en traversant les Alpes.

Arrivés à Spilt, nous sommes pris en charge par l'hôtel Amphora (transfert jusqu'au port, bateau et hôtel). Nous tombons immédiatement tous sous le charme de ce petit paradis : Hvar.

Après une nuit de récupération, nous décidons avec mélissa de faire un petit réveil musculaire pour éliminer le voyage avec en bonus, un petit plouf sans combinaison dans la mer pour s'habituer vitesse grand "V" à la température de l'eau (14 degrés). Comme d'habitude, Mélissa gère mieux que moi ce type de température; je suis donc le premier sorti.

L'après-midi, on se donne grave envie en regardant l'épreuve du "sprint" en encourageant les participants et notamment les impressionnantes amies suédoises qui remportent le classement scratch, Wow!

Après cette belle mise en bouche, place au légendaire briefing d'avant course qui met tout le monde dans l'ambiance grâce au talent oratoire de Michel Lemmel, the boss. Il ne reste plus qu'à prendre quelques forces à l'occasion du somptueux buffet de l'hôtel et quelques heures de sommeil avant le Show.

The race :

Le départ est donné à 9h de la très jolie place centrale de Hvar. Un cadre incroyable pour lâcher les sirènes et squales dans l'Adriatique. Il est interdit de se tracter avant le début de la 2ème section de natation pour éviter les accidents à cause de l'élastique tendu entre 2 coureurs. Le premier objectif est déjà de ne pas se perdre sur cette première traversée de 300m de natation. Je sors le premier et attend Mélissa qui guidée par mes parents me retrouve sans problème. On enchaîne avec une section de course à pied qui nous emmène au départ de la 2ème section natation longue de 1700m. On s'attache et je me charge de la navigation. C'est pour nous la première eau libre de l'année, du coup je ne suis pas très à l'aise, c'est une sorte de "débridage en règle". Arrivé sur terre, je me retourne et vois Mélissa avec un sacré sourire aux lèvres... Espèce de poisson va! cette arrivée était d'ailleurs remarquable. 

Puis une partie de course à pied nous amène au départ du big swim de 3000m pour traverser la mer en direction de l'île magique Pakleni. Il faut contrôler le courant latéral mais les conditions sont excellentes par rapport à celles de l'année dernière. C'est assez long, mais on gère bien notre effort même si notre niveau général de natation est bien moins bon que les autres participants. Je ressens le froid juste dans les derniers mètres de traversée ce qui est plutôt agréable à comparer de certaines sections Ötillö suédois. Par contre à la sortie de l'eau, on ressemble à 2 alcooliques pas anonymes; impossible de se redresser sans tituber. A se demander ce qu'on a bu au ravito?? ;-) 

S'ensuit un bel enchaînement de jolis trails et des belles sections de nages sur cette île particulièrement paradisaque. On se régale sur les parties techniques  accidentées qui jouent en notre faveur avec nos qualités de pied montagnard.

Nous revenons à la nage sur l'île de Hvar où mes parents nous encouragent à la sortie de l'eau. On est trop content car on sait à ce moment que nous passerons la porte horaire numéro 2 avec 20 minutes d'avance. On arrose ça à la part de pizza au ravitaillement situé au départ de long trail de 14km. Cette section va nous emmener sur les hauteurs de l'île, au Fort Napoléon en passant au beau milieu des oliveraies avec une vue imprenable sur notre première partie de parcours.

Je commence à prendre un petit coup de chaud et un petit coup de bambou. je digère moins vite la pizza que Mélissa qui redonne le tempo en relançant quelques fois sur les parties de faux plat montant où on alterne course et marche rapide.

C'est vraiment très beau, nous attaquons la descente vers la mer en passant par un hameau abandonné et c'est avec 15 minutes d'avance sur la 3ème et dernière porte horaire que nous attaquons l'avant dernière section de natation de 700m. Ca veut dire que sauf gros incident, c'est dans la poche.

Peut-être est-ce le fait d'avoir chopé un petit coup de chaud mais je trouve l'eau plus froide qu'avant. Bref, on enchaîne et c'est avec une immense joie qu'on arrive une nouvelle fois sur la place centrale d'Hvar, 7h51 après en être parti, mais cette fois-ci pour y rester car c'est gagné pour nous : Nous sommes finisher de cette étape de coupe du monde Ötillö Hvar.

Grand Merci à mes parents pour ce super voyage, à Mélissa, ma partenaire de choc et de charme et à tous nos amis revus (Camille, Julien; le team envol avec super coach Nicolas, Fix,...) ou rencontrés lors de cette belle édition (Manon-Cécile et Romain). Une pensée pour Run Alp Chambéry pour la location de combinaison HEAD de Mélissa.

Merci également à toute l'équipe de l'organisation et chapeau bas pour ce magnifique parcours tracé pour le plus grand plaisir des swimrunner.

Côté astuces :

Oui, la vaseline marche super bien pour éviter les frottements du cou. il faut éviter la Nok par contre vu les cous irrités de nos amis. Avant la course, on a appliqué sur nos notre visage cou et bras de la crème solaire Tingerlaat. Bilan : Pas de coups de soleil et en plus, ça nous a permis de mettre une fine couche de protection contre le froid de l'eau. 

On a même capté une dernière petit discussion de nos supporter :

maman : "Mais, Alain, l'année prochaine, on pourrait tenter le sprint non?""

papa : "Même pas en rêve, et même pas dans la piscine"

 

 

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Publié le par lolo

Incroyable samedi 17 mars, avec une météo pluvieuse en bas de vallée, on tente quand même, motivés comme jamais, de monter au petit canada pour une virée nordique. Aux déserts, la pluie se transforme en neige mouillée, puis neige puis.... nous arrivons au paradis blanc quasi désert. S'ensuit 2 heures de virées en famille, en style classic pour moi dans une ambiance feutrée et tamisée.

Quel pied!

 

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Publié le par lolo

C'était pour moi une 2ème participation au Trail du Bourget en Huile, organisé par les potes du BGSA à 15 minutes de la casa. D'habitude, je suis de l'autre côté du miroir, dans l'organisation; mais en 2016 puis 2018, c'est sur le parcours que je me suis retrouvé pour secouer mes quadriceps en saison hivernale.

Cette année, le terrain proposait une alternance de boue et neige; c'est pourquoi j'ai préféré prendre les bâtons pour m'aider dans les montées et tenir l’équilibre sur les secteurs glissants. C'est vrai qu'à 4 pattes c'est mieux que sur 2. ma seule question était de l'ordre musculaire car je ne coure pas beaucoup en hiver, genre 2 fois par semaine 1h en moyenne. Du coup, c'était un bon test qui s'est avéré être plutôt positif. En effet, je me suis aperçu que les séances de ski de fond et de natation m'avaient fort bien préparé au niveau de la condition physique et musculaire dans les côtes. Si on ajoute les séances de RPM dans ma salle préférée Olympe, je crois que la préparation physique est bien lancée. J'ai également enchaîné quelques fois ski de fond + trail... Je pense que ça a aidé à limiter la casse également. Au niveau des descentes, l'expérience a fait que j'ai pu me relâcher et ne pas exploser mes fibres dès les premières pentes.

Je suis donc parti en mode sortie longue pour gérer au mieux la distance de 26.5km et le déniv de 1100m de D+. J'évoque souvent à mes amis l'esprit de découper la course en 2/3 + 1/3 c'est à dire 2/3 de gestion pour avoir encore de l'énergie et des guibolles dans le dernier tiers. Et sur ce parcours, c'est l'idéal car dans cette dernière partie, un beau crapahut nous attendait suivi d'une méga descente technique et enfin de 5 km de relances sur le plateau avec encore de belles bosses vicieuses.

A ce petit jeu de la gestion de course, j'ai ainsi pu m'hydrater correctement, ne pas avoir de souci de bidou et prendre du plaisir tout au long du parcours ce qui a son importance. si on ajoute à tout ça le fait de revenir sur quelques camarades de courses et en lâcher d'autres dans ce fameux dernier tiers, c'est que du bonheur notamment au niveau psychologique.

Alors GRAND MERCI à l'organisation pour le parcours, balisage, sourires et l'invitation, c'était génial en plus vous êtes tous adorables. Et vivement l'édition 2019; de quel côté de la barrière? ça.... En tout cas la saison est bien lancée... Forza

photo : BGSA

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Publié le par lolo

C'est bien de se procurer une crème solaire avant nos sorties extérieures, aussi, faut-il bien savoir l'utiliser pour qu'elle apporte la protection désirée. En effet, à quel moment mettre la crème par exemple? Nombreux sont ceux déjà rouges comme des tomates qui se disent : "il est grand temps d'appliquer de la crème", alors qu'il est malheureusement déjà trop tard.

Alors dans un premier temps, la crème doit se trouver dans la salle de bain, à côté de la brosse à dent, en évitant si possible de s'en servir de dentifrice.

Pourquoi? Très simple, après le lavage du visage, les pores de la peau sont sains et propres et aptes à recevoir et s'imprégner correctement de la crème protectrice. Car il ne faut pas oublier que la crème solaire, ce n'est pas de la peinture, mais bien une substance qui s'imprègne au visage.

Une fois la crème appliquée, le temps de s'habiller et de sortir, ou partir sur les terrains d'entraînement, le visage ou d'autres parties du corps sont prêtes à lutter contre l'agression des rayons du soleil.

Mais attention, car le jour blanc, le soleil voilé sont des pièges à coups de soleil, notamment en altitude ou sur les bassins, alors prévention obligatoire même si le soleil n'est pas visible.

Pour ma part, j'emporte avec moi un petit tube de crème dans le sac à dos ou dans la poche pour en remettre si nécessaire, notamment sur les zones à risques comme le nez, les oreilles, l'arrière du cou, derrière les genoux,... Pourquoi le nez? Déjà parce qu'il dépasse, que le mien est gros et surtout du fait des lunettes de soleil qui accentuent la réverbération avec les verres sur notre pauvre nez.

Après, il faut bien choisir sa crème. Et pour cela, je vous conseille fortement l'indice SPF50+ de TINGERLAAT qui m'a juste redonné l'envie de remettre de la crème pour les raisons suivantes :

  • protection du froid et du vent
  • pénétration fluide dans l'épiderme
  • résistance à l'eau et à la transpiration
  • pas de crème qui coule dans les yeux et la bouche
  • durabilité : plus de 4 / 5 heures sans en remettre du coup le tube dure bien plus longtemps
  • tolérance maximale
  • pas d'odeur
  • l'embout pointe en silicone qui évite l'entrée d'air dans le tube et donc une pollution ou infection de la crème
  • vous ne ressemblerez pas un une tartine blanche
  • fabriquée en France

En gros, l'essayer c'est d'adopter :-) et plusieurs contenants sont disponibles. Du coup j'en ai dans la salle de bain, dans la voiture, et dans le sac. A essayer d'urgence :

http://www.tingerlaat.com/

Astuce :

En swimrun, je l'applique aussi  avant de plonger dan les eaux froides pour la protection contre le froid

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